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K positif

K positif

Bienvenue, Willkommen, Welcome in Reims ! Cabaret accueillant à la fois revues de music-hall et artistes populaires, le "K", s'est imposé en moins de trois ans dans l'univers du divertissement champenois. Grâce à la volonté farouche de ses fondateurs, Magalie et Sébastien.

"Dans toutes les capitales du monde, il y a un music-hall avec du champagne, mais dans la capitale du champagne, il n'y avait pas de music-hall."

La formule de Sébastien Bocahu est trop belle pour ne pas servir de point de départ à la belle aventure qu'il vit depuis bientôt trois ans au côté de son associée Magalie Ledoux. En novembre 2011, le duo a lancé le "K", premier cabaret à voir le jour à Reims.

Une belle idée...mais pas si simple à mettre en place

"Comme ça n'avait jamais existé, les banques et les administrations pensaient qu'il n'y avait aucun besoin" se souvient Magalie. Elle et Sébastien savent pourtant que c'est tout le contraire. Dans une première vie, les deux Rémois - 70 ans à eux deux - travaillaient dans la restauration et ils ne cessaient de croiser des chefs d'entreprises ou responsables d'association chagrinés d'être obligés de se rendre à Paris pour passer une soirée festive avec leurs collaborateurs.
Séduit par leur assurance et leur dynamisme, le Crédit Mutuel Nord Europe finit par suivre les deux entrepreneurs qui foncent dès l'obtention de leur prêt !

Le "K" attire les célébrités

Ils contactent une revue parisienne prête à monter un show pour eux, programment des dates de spectacle et engrangent les premières réservations ... alors que la salle n'existe pas encore. A l'ouverture, ils mettent le paquet sur la communication et cassent la tirelire pour accueillir le roi du cabaret Patrick Sébastien. Le bouche à oreilles fait le reste.
D'autant que le "K" n'accueille pas uniquement des soirées music-hall. Bigard, Michel Jonasz, Daniel Guichard, Patrick Timsit...

Un succès Rémois

Chaque semaine, humoristes et chanteurs se produisent dans une salle pouvant accueillir jusqu'à 1400 personnes. Résultat, après moins de trois ans d'existence, plus aucun Rémois n'ignore l'existence de ce nouveau lieu de divertissement.
Face au succès, le duo a le triomphe modeste. "Je suis trop bête pour avoir inventé quoique ce soit" sourit Sébastien, "mais assez intelligent pour avoir pris le temps de regarder ce qui marche". La formule est trop belle pour ne pas sonner comme la promesse d'une suite heureuse à l'histoire du "K".