Océan Participations
"Être bien accompagné,
c’est capital"
Dans le cadre d’une vision partagée de vos projets, Océan Participations vous apporte les moyens financiers dont vous avez besoin pour conduire votre entreprise là où vous le souhaitez. L’affiliation au Crédit Mutuel assure à Océan Participations une assise financière sécurisante pour vous accompagner dans le temps et en toute confiance, sur des durées d’investissement souples et personnalisées.
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Cocktail vision enchaîne les projets. En 2019, la régie publicitaire spécialisée dans l’affichage numérique led annonçait le déménagement de son siège dans le Château du Plessis, à la Roche-sur-Yon, en 2021. Coût de l’opération : 4,5 M€. Quelques mois plus tard, Cocktail vision (55 salariés, 6,5 M€ de CA en 2019) annonce vouloir investir dans une usine de 1 000 m2 entièrement automatisée pour produire les éclairages leds et les modules, qu’elle importe aujourd’hui d’Asie. « Nous sommes en train de chiffrer ce projet », assure Stéphane Frimaudeau, le président, qui envisage un investissement de plusieurs millions d’euros. Cette usine devrait voir le jour dans deux ans sur un terrain déjà identifié, à Landeronde, près de La Roche-sur-Yon. Cocktail Vision espère recruter 10 salariés pour la faire fonctionner. « Pour se relever rapidement après le confinement, nous avons choisi d’accélérer, confie le dirigeant. Grâce à nos projets de développement et à la reprise rapide du marché, nous allons réussir à stabiliser notre chiffre d’affaires. »
Racheter 26 emplacements de son concurrent
Cocktail Vision, qui travaille avec des clients de proximité (des collectivités ou des entreprises), a en effet vu son activité « redémarrer sur les chapeaux de roues », après le confinement. Pour accélérer, l’entreprise a également racheté 26 emplacements qui appartenaient à son concurrent Oxialive, basée dans le Nord. « Nous avons fait l’acquisition de 10 écrans en périphérie de Bordeaux, 9 à Clermont-Ferrand et 7 à Angers où nous étions déjà présents, précise Stéphane Frimaudeau. Oxialive voulait se recentrer sur le nord et l’est de la France. » Présent désormais dans une soixantaine de villes, le groupe cherche à mailler tout le grand Ouest, notamment en poursuivant une stratégie de croissance externe. En 2017, Cocktail Vision avait déjà fait l’acquisition de la régie publicitaire Pixity. Grâce à cela, le groupe espère franchir la barre des 10 M€ de chiffre d’affaires d’ici à 2023.
Un écran mêlant Led et photovoltaïque
Pour atteindre cet objectif, l’entreprise vendéenne mise également sur l’innovation. Après deux ans de R&D, elle vient de lancer un écran mêlant les technologies led et photovoltaïque, grâce à un partenariat avec la société de modules photovoltaïques souples, Voltenflex, du groupe Dubreuil. « Nous avons réalisé un prototype de 2 m2 qui permet de réaliser 75 % d’économies par rapport à un écran classique, de la même taille. A terme, l’idée est de proposer des écrans à énergie positive », indique Stéphane Frimaudeau. Via sa startup Gustav’by Cocktail, le groupe a également intégré la programmation d’un robot fabriqué aux Etats-Unis, qu’il a nommé Dadooh. « Nous avons créé notre école de formation pour les métiers du digital, Cocktail Campus, à La Roche-sur-Yon, précise le dirigeant. La première promotion de 22 étudiants vient de faire sa rentrée et elle devrait utiliser le robot Dadooh comme outil pédagogique. » La société envisage également d’installer ce robot à l’accueil de son futur siège avant de le commercialiser à des banques, des entreprises dans l’événementiel ou des Ehpad, « pour distraire les résidents. »
Le groupe Akena enrichit son offre avec l’acquisition d’Abrisud
Fort de 58 M€ de revenus, le fabricant toulousain d’abris pour piscines sort d’un LBO avec Andera, Activa Capital et Multicroissance pour rejoindre le spécialiste vendéen des vérandas et pergolas, Akena.
Akena confirme son intérêt pour la production d’abris de piscine. Quelques mois après s’être lancé sur ce marché avec le rachat d’Azenco (lire ci-dessous), le fabricant vendéen de vérandas et de pergolas s’offre Abrisud, leader français du secteur. Pré-opération, l’actionnariat de la cible était placé à 51 % entre les mains d’Andera depuis la conversion de sa dette en capital en 2018 (lire ci-dessous), tandis qu’Activa détenait environ 44 %. Le management et Multicroissance se partageaient le reliquat. Au terme du process confié à KRN Finance au début de l’année, deux industriels et quatre financiers sont parvenus en phase finale. « Au vu du contexte sanitaire, nous avons estimé que la piste industrielle était la plus à même de garantir la pérennité du groupe », souligne Laurent Fichter, associé chez ActoMezz. Si le prix de l’opération n’a pas été dévoilé, un abandon de créances aurait été convenu, au profit de l’intéressement des vendeurs à la performance future.
Un carnet de commandes au plus haut
Car lors de sa dernière opération en 2018, Abrisud affichait une santé en berne; avec notamment une dégradation de sa rentabilité. Les actionnaires se sont alors attachés à mettre en place une nouvelle équipe de management emmenée par Vincent Linchet, avant de concentrer leurs efforts sur l’innovation produit - qui avait historiquement fait la force d’Abrisud - ainsi qu’à l’amélioration de la qualité de l’offre. Résultat : la société toulousaine aux 350 salariés et quatre sites de production a vu son chiffre d’affaires croître sur ces deux années pour atteindre 58 M€. La vente de la société intervient ainsi alors que son carnet de commandes est à son plus haut historique. Mais cet indicateur positif aurait toutefois amené de nouveaux challenges financiers de taille. « Les process industriels et de pose nécessitaient encore d’importants investissements financiers. Or, nous manquions de temps pour aller au bout de ces transformations », explique Laurent Fichter, rappelant qu’Abrisud constituait la dernière ligne du fonds Acto Mezzanine 1, entré en 2011 dans l’entreprise (lire ci-dessous).
Un nouvel ensemble à 150 M€ de revenus
Christophe Chabot, Akena Vérandas
Lhyfe envisage déjà un triplement de sa production d’hydrogène à Bouin
Lhyfe a posé le 26 septembre la première pierre de sa première unité d’hydrogène « vert », aux pieds du parc éolien de Bouin, en Vendée. Ce dernier, opérationnel depuis 2003, comprend huit éoliennes pour une puissance installée de 19,5 MW. La startup nantaise investit 6 M€ dans ce projet pilote comprenant 700 m2 de bâtiments industriels et 200 m2 de bureaux accueillant le centre de R&D. Car elle prévoit aussi d’investir 7,5 M€ dans les deux ans avec, en ligne de mire, un déploiement de sa technologie sur les champs éoliens offshore.
PREMIERS KILOS EN MAI 2021
L’unité devrait atteindre dès mai 2021 une capacité de production de 300 kilos d’hydrogène par jour, de quoi satisfaire la consommation de 700 voitures à hydrogène (un plein = 6 à 7 kg), avec un premier électrolyseur, une machine de 100 tonnes, 14 mètres de long et de 3 mètres de haut. Mais cette capacité sera doublée dès l’été prochain puis triplée. « Le projet a été conçu dans cette perspective », mentionne Matthieu Guesné, le fondateur de Lhyfe. L’usine de Bouin fournira en premier lieu les premières stations existantes dont celles de Challans, de La Roche-sur-Yon (sur l’ex-usine Michelin), financées par le Sydev (syndicat énergétique de la Vendée) et celle du Mans, installée en lien avec l’Automobile club de l’ouest. La première cible sera les véhicules de transport en commun ou de collecte des déchets.
40 AUTRE UNITES EN PROJET
Pour Matthieu Guesné, l’ambition est d’aller directement vers l’hydrogène 100% vert « pur et dur » par opposition à l’hydrogène « gris », issue des hydrocarbures ou de l’électricité du réseau. Les grands énergéticiens tendent en effet à acquérir des électrolyseurs « sur l’étagère » pour les brancher au réseau. Lhyfe entend dupliquer sa technologie éprouvée à Bouin sur d’autres sources d’énergie renouvelable, dans l’hydrolien et l’éolien. Le dirigeant fait état d’une quarantaine de projets en portefeuille. Ils pourront être menés en co-investissement avec des collectivités ou des énergéticiens, mais Lhyfe entend demeurer majoritaire dans ces unités.
GESTION DE L’INTERMITTENCE
Pour mémoire, Lhyfe a développé des technologies d’optimisation de la gestion des intermittences, inhérentes aux énergies renouvelables. L’entreprise a notamment conçu à cette fin son propre algorithme de pilotage. « Nous ne travaillons pas sur l’électrolyseur mais sur la façon de le faire fonctionner à son meilleur point d’efficacité », précise le dirigeant. Lhyfe a conclu en avril un accord-cadre avec le norvégien Nel, présenté comme le leader mondial dans la fabrication d’électrolyseurs. Mais la startup entend remonter dans la chaîne de valeur sur la fabrication de ces machines. « Nel nous fournit les plaques bipolaires et les membranes, nous assemblons avec des composants que nous achetons par ailleurs », explique le dirigeant. Lhyfe a scellé cette année plusieurs partenariats scientifiques, notamment avec le CEA, l’Alliance Marine Energy (Interreg North-West Europe) et l’Institut de recherche pour le développement (IRD). L’entreprise emploie désormais 20 salariés. Ils seront 30 en fin d’année.
FILIALE EN ALLEMAGNE
Lhyfe confirme par ailleurs la création d’une première filiale européenne, en Allemagne. Et d’ici la fin de l’année, la startup comptera des représentants en Espagne, en Italie, au Portugal et en Europe du Nord. La société figure aussi parmi les lauréats de l’AMI Sea-GRID pour la production d’énergie en mer lancé en février par Centrale Nantes, RTE et Enedis, avec le soutien de Solutions&Co. Elle bénéficiera ainsi de l’appui technologique de ces partenaires pour l’étude de la faisabilité d’un démonstrateur offshore qui sera installé sur le site d’essais Sem-Rev, administré par Centrale.
Go Industry se soude à deux fonds régionaux
Fort de 20 M€, le groupe néo-aquitain de construction d’équipements réalise une augmentation de capital d’environ 1 M€ auprès de son actionnaire historique Aquiti Gestion et d’Océan Participations.
En moins de cinq ans d’existence, Go Industry s’est déjà forgé une solide présence dans l’Ouest de la France. A la tête de 20 M€ de chiffre d’affaires et de 160 collaborateurs, le constructeur d’équipements pour le transport, l’agriculture, les espaces verts et le bâtiment, établi à Périgny en Charente-Maritime, veut aujourd’hui structurer son développement. Pour ce faire, le groupe s’est offert en toute discrétion fin 2019 une augmentation de capital d’environ 1 M€, auprès de deux financiers locaux : Aquiti Gestion et Océan Participations. Le premier était déjà entré au capital du groupe aux côtés de Bpifrance lors de sa constitution. Le second, qui avait conservé des relations étroites avec Go Industry depuis sa sollicitation dans le cadre de sa première opération capitalistique, signe enfin son entrée dans l’actionnariat. Post-opération, la majorité des parts est conservée par le dirigeant.
Ce groupe industriel est né de l’intégration de trois sociétés par Guillaume Olivier entre mai 2015 et juillet 2016 : le concepteur de matériel agricole et de chantiers rochelais Chargeur Plus ; le fabricant de bennes Socari basé dans la Vienne ; et le sous-traitant en mécano soudure Groupe Roland. L’an dernier, l’ensemble a par ailleurs créé une quatrième marque dédiée à la fabrication de produits et équipements pour la plasturgie baptisée BMS Equipments. « Réalisée pré-covid, l’objectif de cette augmentation de capital était d’apporter un peu de cash pour assumer notre rythme soutenu d’acquisitions », souligne Guillaume Olivier. Et pour cause, après une constitution douloureuse (concurrence déloyale de l’un des cédants, difficultés économiques d’une filiale...), le groupe a très rapidement connu « une forte croissance ». Ayant aujourd’hui retrouvé un niveau d’activité similaire à l’avant-crise, Go Industry consacrera son avenir proche à la consolidation de ses marques et de sa stratégie industrielle.
À l'écoute de votre marché et de vos attentes
Proche de votre entreprise
Installé à la Roche-sur-Yon depuis près de 30 ans, Océan Participations se positionne en véritable partenaire des PME/PMI de Charente-Maritime, Deux-Sèvres et Vendée. Proche de vous, Océan Participations connaît le tissu économique et local dans lequel votre entreprise évolue et a déjà accompagné plus de 260 entreprises.
Le contexte financier n’est pas le seul facteur dans notre prise de décision. L’étude de votre histoire, de votre entreprise, de sa culture, des hommes qui la composent, de son environnement sont toujours pris en considération pour vous apporter la meilleure réponse.
Proche de vos attentes
À la fois flexible et impliqué, Océan Participations intervient comme un « facilitateur » de vos projets. Nos interventions sur mesure ont pour objectif essentiel de pérenniser les entreprises de notre territoire en y maintenant les centres de décision.
Grâce à l’appui du Crédit Mutuel, Océan Participations met à votre disposition un réseau de relations de proximité pour vous informer des opportunités d’affaires présentes dans la région. Océan Participations est à l’écoute de vos attentes et s’investit pleinement à vos côtés dans un climat de confiance, sans ingérence dans la gestion de votre entreprise. Autre atout essentiel, nos circuits de prise de décision nous permettent d’être réactifs.
L’accompagnement, clé de la réussite !
Transmission, reprise, en accord avec vos objectifs
La transmission constitue une étape-clé destinée à donner un nouvel élan à l’entreprise.
Doté d’un parcours professionnel riche et varié, vous désirez vous investir dans la reprise et le développement d’une entreprise.
Pour préparer la reprise dans les meilleures conditions, Océan Participations vous accompagne dans cette nouvelle étape et vous aide dans votre réflexion et votre cheminement.
Si besoin, Océan Participations facilite les prises de contacts en faisant jouer son réseau de relations, tout en favorisant en priorité une solution régionale.
Croissance interne et externe, un développement bien orchestré par l’acquisition d’une nouvelle société.
- Vous avez l’occasion de saisir une opportunité d’acquisition alors que vous ne l’aviez pas envisagée.
- Votre entreprise a besoin de fonds propres pour accompagner le financement de sa croissance.
- Vous pouvez aussi être en recherche de capitaux propres pour faire face à un programme ambitieux d’investissements, y compris dans le cadre du développement de nouvelles technologies.
Océan Participations vous apporte une aide personnalisée pour accélérer le développement de votre entreprise.
Reclassement de capital, une nouvelle harmonie dans les titres
Le reclassement de capital consiste au rachat partiel ou total de titres auprès d’actionnaires.
Différentes situations peuvent vous amener à envisager une opération de reclassement de capital :
- Les actionnaires minoritaires souhaitent, pour des besoins privés, récupérer des liquidités et donc céder leurs actions.
- D’autres souhaitent se retirer après de longues années de présence.
- En tant qu’actionnaire majoritaire, vous souhaitez soit sécuriser une partie du patrimoine, soit être entouré d’actionnaires plus actifs dans le développement de votre entreprise.
Avec votre accord, Océan Participations vous accompagne dans cette opération de reclassement de capital.
Nous les accompagnons
-
CIGEC
Installation, maintenance et dépannage plomberie, chauffage, électricité et climatisation
CHATILLON SUR THOUET (79)
-
DLJ DEVELOPPEMENT
Holding – Activités diversifiées
REZE (44)
-
Ets BERTRAND
Fabrication et négoce de machines et fournitures ostréicoles
MARENNES-HIERS-BROUAGE (17)
-
INDIGO – ID ENVIRONNEMENT
Négoce de produits liés à l’aménagement des espaces extérieurs
SAINT HERBLAIN (44)
-
ILE DE RE CHOCOLATS
Fabrication et commercialisation de
chocolats et de confiserieSAINT MARTIN DE RE (17)
-
IZI FAMILY
Plateforme d’aide aux démarches administratives
des familles «le compagnon administratif »LE MANS (72)
-
ALSIM GROUP
Conception, fabrication et commercialisation
de simulateurs de volLE LOROUX-BOTTEREAU (44)
-
NEEL TRIMARANS
Conception, construction et commercialisation
de bateaux de plaisanceLA ROCHELLE (17)
-
LES COTEAUX NANTAIS
Production et transformation de fruits
en agriculture biologique et biodynamiqueVERTOU (44)
-
GO INDUSTRY
Sous-traitance industrielle mécano-soudure,
découpe laser, pliage et usinagePERIGNY (17)
-
ESTILLE
Groupe d’entreprises d’insertion, d’entreprises
adaptées et de travail temporaire d’insertionLA ROCHE-SUR-YON (85)
-
SAS CHRISALINE
Hôtellerie de Plein Air
SAINT-HILAIRE DE RIEZ (85)
-
ELIXIR AIRCRAFT
Conception, fabrication et commercialisation
d’un avion de tourisme biplaceLA ROCHELLE (17)
-
ETOILE SECOURS
Amulances et pompes funèbres
SAINT-PALAIS-SUR-MER (17)
-
REILUX GROUPE
Contrôle non destructif de structures ou de fixations
ANGERS (49) et EKERLENZ (Allemagne)
-
LABORATOIRES
HERBOLISTIQUEConception/commercialisation compléments
alimentaires naturels à base de plantesCHANVERRIE (85)
-
ABYS MEDICAL
Conception d’implants sur mesure et d’outils digitaux pour la chirurgie orthopédique
LA ROCHELLE (17)
-
IGLOO FRANCE CELLULOSE
Fabrication de ouate de cellulose et distribution d'équipements d'isolation pour les professionnels
LA MOTHE ACHARD (85)
-
MODICAST
Spécialiste de l'évier en inox et en résine, du mobilier de bureau et des aménagements intérieurs
LUCON (85)
-
BGD MER
Achat vente de coquillages, produits de la mer, cuisson de coquillages et crustacés
SAINT-PIERRE-D’OLERON (17)
-
OUEST SYNERGIE
Chauffage - Climatisation - Plomberie/Sanitaire - Electricité - Energies renouvelables - Couverture zinguerie
ECHIRE (79)
-
FSM
Fabrication, montage et assemblage, usinage, grenaillage, peinture et mécano-soudure
BAR-LE-DUC (55)
Nous les avons accompagnés
Nos compétences à votre service
Pierrick CHARROT
Directeur
Virginie CHEVALIER
Chargée d’Investissement
Frédéric BRAUD
Chargé d’Investissement
Vincent BOURAUD
Chargé d’Investissement
David BONNEAU
Chargé d’Investissement
Carole MALEH
Assistante
Martine TEXIER
Assistante