Aujourd’hui, le contexte inédit de baisse des taux concerne aussi bien les produits d’épargne bancaire réglementés et les fonds en euros des contrats d’assurance-vie que les actifs de type obligations ou fonds monétaires.
La diversification apparaît, plus que jamais, comme une nécessité pour espérer de meilleures performances dans la durée.
Selon le profil de l’investisseur (performance/risque/horizon de placement) et en complément d’une épargne de précaution indispensable et adaptée, plusieurs supports d’investissement sont accessibles, notamment :
- les placements bancaires (livrets, plan d’épargne logement...) ;
- les placements financiers tels que :
le plan d’épargne en actions (PEA) ,
l’épargne salariale ;
- les contrats d’assurance-vie multisupport 1.
La plupart de ces placements et contrats d’assurance-vie multisupport autorisent, dans le cadre d’enveloppes fiscales privilégiées,
une diversification sous forme de supports qui permettent d’accéder à un éventail plus ou moins étendu de classes d’actifs – actions,
obligations, monétaires, fonds flexibles2, fonds d’opportunité (fonds à formule), OPCI (organismes de placement collectif en immobilier), etc.
Ces investissements en direct ou au travers de parts d’OPC comportent un risque de perte en capital et présentent une volatilité plus ou moins importante.
C’est la raison pour laquelle l’horizon d’investissement, les projets patrimoniaux et familiaux doivent être déterminés avec précision.
Avant toute décision, une étude préalable avec un Conseiller est donc nécessaire, pour une prise en compte de la situation globale, des objectifs poursuivis ainsi que de la sensibilité au risque.
Au-delà de ce principe de diversification, un suivi régulier et rigoureux s’impose.