1. Mon critère numéro 1, c’est le taux d’intérêt ?
En effet, avant de souscrire un crédit auto, mieux vaut vérifier le taux d’intérêt débiteur. Ce taux est exprimé en pourcentage du montant emprunté. Pour obtenir le prêt auto le moins cher, vous avez souvent intérêt à privilégier la formule avec le taux d’intérêt le plus bas.
Evidemment, vous pouvez négocier avec votre conseiller. Et vous pouvez chercher des offres chez des concurrents, pour vérifier s’il n’existe pas de taux plus avantageux. Mais attention, il n’y a pas que le taux d’intérêt nominal qui compte...
2. Les frais de dossier de mon crédit auto
Effectivement, les frais de dossier peuvent parfois faire la différence et il est important de les prendre en compte lorsque vous comparez des offres de crédit auto concurrentes.
Ces frais valorisent le temps que votre conseiller passe à monter et étudier votre dossier lorsque vous le sollicitez pour un prêt auto. Le plus souvent, les frais de dossier représentent environ 1% de la somme empruntée1.
3. Le montant de mes mensualités
Le montant que vous allez rembourser chaque mois pour votre prêt auto doit également être pris en compte. Les mensualités doivent être adaptées à vos revenus et vous laisser de quoi vivre paisiblement au quotidien. Dans tous les cas, vous ne devez pas dépasser 33% d’endettement pour l’ensemble de vos remboursements.
4. La durée de remboursement sur laquelle m’engager pour mon crédit auto
Eh oui, selon l’effort que vous êtes prêt à faire, comparer la durée du prêt est un critère important pour choisir votre prêt auto. Il est important de choisir la durée de remboursement qui correspond exactement à vos capacités financières.
Pour rembourser confortablement votre crédit auto, n’hésitez pas à opter pour une durée plus longue. Votre prêt vous revient un peu plus cher, mais chaque mois, la mensualité est moins lourde.
5. Les autres points à vérifier et leur impact sur mon prêt auto
En plus de ces 4 critères principaux, d’autres points particuliers peuvent vous aider à faire la différence.
C’est par exemple le cas de l’assurance emprunteur facultative. Vous êtes libre d’y souscrire ou non.
Par ailleurs, si vous voulez bien comparer différentes offres concurrentes, vous pouvez comparer leur TAEA (taux annuel effectif d’assurance). Il représente le coût réel de l’assurance, à prendre en compte en plus du TAEG.