Particuliers

Pourquoi souscrire une prévoyance ?

La prévoyance apporte une couverture pour faire face aux aléas de la vie. Elle peut concerner l’assuré, mais aussi son conjoint et ses enfants.

Maladie, accident, décès : avoir une assurance prévoyance est indispensable pour se protéger et protéger ses proches.

Je tombe d’une échelle en ramassant des cerises sur un arbre dans mon jardin. Je me casse une jambe, je ne peux plus travailler. Que se passe-t-il ? Suis-je indemnisé ? Pourquoi mon contrat prévoyance est-il important ?

Parce que, dans le monde du travail, tous ne bénéficient pas d’une couverture prévoyance collective, un contrat de prévoyance individuelle permet de :

  • Bénéficier d’une couverture en tant que travailleur non salarié (TNS). Contrairement aux salariés, qui peuvent bénéficier d’un contrat de prévoyance collective, les travailleurs indépendants doivent souscrire leur propre assurance prévoyance. Une offre TNS Prévoyance vous est proposée pour vous garantir un revenu en cas d’invalidité ou d’incapacité de travail.
  • Protéger l’activité de l’entreprise. Dans les petites et moyennes entreprises, l’activité repose bien souvent sur le dirigeant. L’assurance prévoyance Securi Manager protège alors contre la disparition du chef d’entreprise et la perte des résultats de l’activité.

En plus des frais de santé, les pertes de revenus sont généralement de 50% ou plus après un délai de carence qui peut aller jusqu’à 90 jours pour les professions libérales.
Pour les professionnels non-salariés, certaines charges courent toujours : loyers des locaux, assurance remboursement d’emprunt dans le cas où l’assurance emprunteur ne couvre pas les arrêts de travail, etc.
Nous vous proposons de réaliser des bilans adaptés à chaque profession et chaque cas pour trouver des solutions personnalisées pour la partie personnelle (perte de revenus) et professionnelle (perte d’activité).

infoBon à savoir : des avantages fiscaux grâce à la prévoyance Madelin TNS

Sous conditions, le contrat Madelin prévoyance permet de déduire les primes versées de son revenu professionnel imposable, dans la limite de plafonds spécifiques à la nature des cotisations concernées (assurance vieillesse, prévoyance et perte d'emploi). Ces plafonds sont calculés en proportion du bénéfice imposable de l'année, retenu dans une certaine limite calculée par référence au plafond de sécurité sociale. Des planchers de déduction sont également prévus pour les revenus déficitaires ou peu élevés. A concurrence de leur montant, les cotisations versées sont déductibles en totalité.

Le revenu imposable est constitué soit de BIC (bénéfices industriels et commerciaux), de BNC (bénéfices non commerciaux) ou de revenus de gérance. Pour cela, il est nécessaire d’être soit non salarié soit d’exercer une activité professionnelle non agricole.

Etre non salarié

  • non-salariés du BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux) : artisans, industriels et commerciaux
  • non-salariés du BNC (Bénéfices Non Commerciaux) : professions libérales, associés des sociétés soumises au régime des sociétés de personnes,...
  • dirigeants de sociétés non-salariés: gérant majoritaire de SARL, les associés selon leur mode d’imposition...
  • conjoint collaborateur du travailleur.

Le contrat est valable uniquement si le titulaire est à jour de ses cotisations aux régimes obligatoires.

Exercer une activité non agricole
La condition de travailleur non salarié non agricole s'apprécie par rapport au régime social de retraite de l'exploitant. En conséquence, les professionnels non-salariés qui cotisent à la mutualité sociale agricole pour le risque vieillesse ne peuvent adhérer à des contrats d'assurance groupe.

A noter : les avantages fiscaux de la prévoyance Madelin ne s’appliquent pas aux bénéfices agricoles.

Parce que le régime de base ne protège pas toujours contre les aléas de la vie

La couverture prévoyance de base s’avère bien souvent insuffisante pour maintenir notre niveau de vie et celui de notre famille.

  • Compléter son contrat de prévoyance avec diverses garanties. Il est possible de renforcer ses assurances de base en souscrivant des garanties décès, invalidité ou incapacité de travail. Pour souscrire de telles garanties, l’assuré doit remplir un questionnaire de santé (âge, pathologies rencontrées…).
  • Cumuler des contrats de prévoyance. Un salarié bénéficiant d’une assurance prévoyance collective peut tout à fait souscrire à titre individuel, en optant pour une prévoyance renforcée. Seule condition : le montant total des indemnités obtenues ne peut pas être supérieur aux dépenses réelles de l’assuré.
  • Des assurances en fonction de vos besoins. Vous souhaitez couvrir un risque de décès ou d’invalidité ? Les contrats Famili Sécurité, Assurance Accidents de la Vie ou Doubl’Epargne sont fait pour vous. Vous pensez à votre retraite et souhaitez être couvert en cas de dépendance ? Plans Autonomie est l’assurance qui vous délivre une aide morale, financière et matérielle. Vous souhaitez préparer vos obsèques ? Optez pour l’assurance Plan Obsèques pour anticiper l’organisation et le règlement de vos obsèques.

infoA vérifier : les exclusions des contrats de prévoyance

Chaque contrat de prévoyance prévoit des exclusions correspondant à des évènements qui ne sont pas couverts (pratique d’un sport considéré comme dangereux, suicide au cours de la première année d’assurance, certaines maladies psychiques…). Dans ces situations et même en cas d’accident invalidant voire de décès, aucune indemnisation n’est possible.

Mettre son conjoint ou ses enfants à l’abri

  • Faire face aux dépenses courantes après une maladie, un accident ou un décès. Qu’on travaille ou non en couple, les revenus tirés de l’activité de l’entreprise constituent généralement une part importante des ressources du foyer. La prévoyance permet notamment de maintenir le niveau de vie du travailleur non salarié et celui de sa famille à travers diverses prestations (rente éducation pour les enfants mineurs, rente au bénéfice du conjoint…). Elle permet également aux proches de faire face aux dépenses consécutives au décès (frais d’obsèques, droits de succession…).
  • Permettre à son conjoint ou à ses enfants de disposer d’un capital. Même si l’assuré vient à disparaître, il est légitime de souhaiter que ses proches réalisent leurs projets, poursuivent leurs études ou continuent de vivre dans leur environnement. La garantie d’un capital peut y contribuer.